Je veux vivre ma liberté car tout ce que je ...
Bonjour, Moi c’est Jacques je suis de la République Démocratique du Congo je suis homme mais je m’identifie […]
Bonjour, Moi c’est Jacques je suis de la République Démocratique du Congo je suis homme mais je m’identifie […]
English version Le 21 et 22 Janvier, un colloque présenté par La Table nationale de lutte contre l’homophobie […]
L’impact de l’homophobie et de la transphobie sur la santé Conférence présentée par Bill Ryan English version Durant cette […]
Version française On January 21 and 22, there was a seminar by La table nationale de lutte contre […]
The impact of homophobia and transphobia on health Conference given by Bill Ryan Version française Bill Ryan spoke about […]
En ce 17 mai, Journée internationale contre l’homophobie et la transphobie, un sondage révèle que 75 pour cent des Québécois considèrent qu'il est facile pour une personne hétérosexuelle d'afficher ouvertement son appui aux personnes lesbiennes, gaies, bisexuelles et transidentitaires (LGBT).
Plusieurs initiatives régionales témoignent d'un désir de mieux servir les personnes lesbiennes, gaies, bisexuelles et transgenres (LGBT) ainsi que de poursuivre la lutte contre l'homophobie.
Le Conseil québécois LGBT et le GRIS-Québec saluent les éluEs de l’Assemblée nationale qui ont voté une motion proclamant officiellement le 17 mai Journée internationale contre l’homophobie et la transphobie, ainsi que la députée fédérale de la circonscription de Québec, Annick Papillon, qui a fait une déclaration en ce sens à la Chambre des communes.
Le 5 mai dernier, le Centre contre l’oppression des genres de l’université Concordia déposait une poursuite à la cour supérieure contre cinq articles du code civil en rapport à la mention de sexe à l’état civil. On a parlé beaucoup dans les médias dans les jours qui ont suivi. Les espaces de commentaires, tant dans les médias traditionnels que les médias sociaux ont été envahis. La question fait jaser, car elle touche un aspect souvent vu comme fondamental dans nos sociétés : la détermination du sexe d’une personne. Nous vous proposons donc ici quelques pistes de réflexions.
Le 27 janvier dernier, vous avez publié un article intitulé "Elle change de sexe pour échapper à des dettes". L'article reprend les dires d'une agence régionale d’huissiers de l’Astrakhan soutenant qu'une personne aurait "changé de sexe" pour échapper à une accumulation de dette. Attendu le processus législatif en cours pour changer les prérequis de changement de mention de sexe au Québec, il semble important de ne pas laisser vos lecteurs et lectrices avec une fausse impression des réalités vécues par les personnes trans.